Ce matin nous avons décidé d'aller nettoyer l'extérieur de notre voiture. Nous sommes donc partis à la recherche d'une station de lavage.
Nous en trouvons une facilement. Au choix : l'emplacement pour le rouleau est vide et pour le karcher il y a une jeune femme en train de laver sa voiture. Nous choisissons d'attendre le karcher pour faire plaisir à Alfan car il aime laver la voiture. La nana a mis trois plombes à laver sa voiture, et vas-y que je mouille la voiture, je m'arrête, je frotte, je remouille, je frotte ... C'est vrai que sa voiture était vraiment très sale. Au bout d'un moment, on se dit qu'elle a fini ... Non, elle se met à frotter les gentes. On ne peut même plus aller au rouleau, c'est la queue maintenant.
Ceux qui connaissent Laurent connaissent son calme légendaire ... on s'en va.
On trouve une autre station. Le rouleau est HS et le karcher est pris. Nous décidons d'attendre. Le monsieur devant nous frotte, frotte ... Ah, ça y est, il a fini, c'est pas trop tôt. Nous avançons. Comment ça marche ce truc ? Laurent interpelle le pompiste. Bon, pas d'eau chaude et pas de savon, il n'y a que de l'eau froide !!! On ne risque pas de nettoyer la voiture correctement. Ils ne peuvent pas mettre un mot sur la machine ??? Et le gars devant, il aurait pas pu nous prévenir ?
On part, on retourne à la première station de lavage, Laurent est énervé. "On est en Afrique ou quoi ?" me dit-il !
Ah, le karcher est libre, mais on ne peut pas insérer de pièces, il faut se rendre à la caisse pour avoir des jetons. J'y vais.
"Bonjour Madame, je voudrais des jetons pour le karcher s'il vous plaît"
"2€ le jeton de 2 min, vous en voulez combien ?"
Moi : "3"
La caissière : "Il ne me reste plus de jetons, je vous fais un papier pour en récupérer"
Elle me tend ça :
Moi, fronçant les sourcils : "Mais je les récupère où, les jetons ?"
La caissière : "A côté du karcher"
Moi : "A côté du karcher ???"
La caissière : "Oui, vous donnez le papier au pompiste". Et elle appelle au micro un pompiste.
Je sors du magasin, mon "bon" à la main, morte de rire.
J'arrive vers Laurent qui me dit : "Oh non, qu'est-ce qu'il y a encore ? ".
Je lui tend le papier, impossible de parler tellement je pleurais de rire.
Mais le pompiste est arrivé et nous avons pu laver notre voiture !
Laurent, à bout "Je vais même pas faire mon plein chez eux tellement ils m'ont énervé !".
Bon, pour l'aspirateur, on verra une prochaine fois, c'est comme Ravate : on repassera !
Mais ce soir nous avons passé une bonne soirée, on a mangé au Barachois et avons vu un concert. C'était très sympa ! Alfan était super content, samoussas au fromage, frites et danse !